La plupart des médias ne sont pas seulement "orientés" : ils jugent, censurent et excluent du débat tout ce qui n'est pas conforme à la pensée unique.
Voyez le traitement réservé à la crise sanitaire : seuls les experts les plus alarmistes apparaissent régulièrement à la télévision. Les autres sont le plus souvent interdits d'antenne. Le directeur de BFM TV, Marc-Olivier Fogiel, ne le cache même pas : "Dès qu'on a entendu ce que racontaient les "rassuristes", on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter." C'est ainsi que, depuis un an, les restrictions de libertés ont été imposées, quasiment sans débat.
Et si, malgré tout, une voix dissidente se fait entendre, le CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel) intervient pour que cela reste exceptionnel et… très encadré. Ainsi, pour avoir interviewé le Pr Perronne, alors chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, RMC a reçu un avertissement, avec menace de lourde sanction en cas de récidive. Sa faute, selon le CSA ? Avoir reçu cet invité "médicalement incorrect" sans lui opposer un contradicteur chargé de rétablir la ligne officielle !
Pas étonnant, dans ces conditions, que la plupart des médias vous servent tous la même soupe bien-pensante.
Dernière lubie en date dans la plupart des "grands" médias : après la PMA sans père, l'éloge de la "transidentité"… chez les enfants. C'est-à-dire la transformation en petites filles de garçons de 7 ou 8 ans (ou inversement). Les chaînes TMC et Arte ont ouvert la voie… aussitôt suivies par TF1, France 2, RMC Découverte et France 24. Ils s'y mettent tous ! En attendant l'inscription de la "transidentité" dans les programmes de l'Education nationale pour la faire découvrir suffisamment tôt aux enfants ?
Car le médiatiquement correct n'est jamais "gratuit", anodin. Et aucun sujet essentiel n'y échappe :
> L'immigration ?
Il est quasiment impossible d'en mentionner les conséquences négatives. Pas question, par exemple, de vous faire connaître ce constat édifiant de la Préfecture de Police de Paris : "la moitié des personnes interpellées pour cambriolages sont des mineurs isolés", c'est-à-dire des mineurs immigrés entrés en France sans leurs parents.
> L'écologie, au nom de laquelle tant de mesures radicales sont prises ?
Il suffit de se rappeler qu'un présentateur météo a été viré de France 2, simplement pour avoir publié un ouvrage climato-sceptique, et que l'engouement pour la jeune Greta Thunberg, engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique, a frisé le ridicule, pour voir qu'on est plus près de la religion que de l'information…
> L'insécurité ?
Les nombreux médias qui vous répètent que ce n'est qu'un "sentiment" oublient juste de préciser qu'en vingt ans, le nombre d'homicides perpétrés dans notre pays a explosé : + 90 % !
Ce médiatiquement correct qui domine l'information est une forme de manipulation de l'opinion publique particulièrement dangereuse.
Et il est urgent - surtout à l'approche d'élections importantes - de faire cesser les manipulations de l'information donnée aux Français et de rendre au débat toute la place qu'il mérite.
C'est pourquoi nous vous demandons de soutenir notre grande campagne de mobilisation en signant la pétition :
"Stop au médiatiquement correct !"
Les Français sont de plus en plus nombreux à refuser le lavage de cerveau qu'on leur administre à longueur de journée et à chercher de l'information non passée au crible du médiatiquement correct.
Le succès grandissant de notre site d'information libre Boulevard Voltaire en est une preuve manifeste…
… Oui, le mur du médiatiquement correct commence à se fissurer.
Mais le temps presse.
Et seule une mobilisation gigantesque permettra d'accélérer ce processus pour restaurer suffisamment vite la liberté d'expression et d'information en France, afin de recréer le débat d'idées loyal dont notre pays a tant besoin.
Aussi, nous vous demandons de faire deux choses, toute simples, mais qui pourront être déterminantes pour notre avenir à tous :
1/ Signez la pétition "Stop au médiatiquement correct !"
2/ Aidez-nous par tous les moyens à en faire un gigantesque mouvement d'opinion témoignant du rejet par les Français du médiatiquement correct.
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