Madame, Monsieur,
Voici deux nouvelles preuves frappantes de la puissance des mobilisations en ligne.
Preuve récente numéro une : la débâcle du syndicat étudiant UNEF
Tout commence début mars, à Sciences Po Grenoble, quand le syndicat étudiant UNEF placarde sur Internet deux noms de professeurs jugés « islamophobes ».
Les circonstances sont aggravantes :
- Samuel Paty, enseignant de philo, a été décapité.
- D’autres musulmans ont menacé de mort Didier Lemaire, prof de philo à Trappes.
- Alors, placarder ainsi les deux professeurs de Sciences Po en les désignant comme « islamophobes » ? Autant mettre leur tête à prix...
Immédiatement, les internautes se mobilisent.
La polémique prend de l’ampleur et oblige la présidente de l’UNEF à sortir du bois.
Et c’est là que le scandale éclate.
Sur Europe 1, elle avoue même que l’UNEF organise des réunions « non mixtes racisées », c’est-à-dire interdites aux blancs !
Entretenue par la mobilisation en ligne, la réaction en chaîne de l’indignation grossit.
Elle est reprise par les politiques de tous bords qui sentent le vent tourner.
Même Hidalgo est obligée de se positionner contre !
À peine un mois après le début de la mobilisation, la dissolution de l’UNEF est demandée.
Cette dissolution est encore très incertaine, car l’UNEF est proche du pouvoir.
En effet, Emmanuel Macron vient de placer un responsable de ce syndicat au Conseil économique, social et environnemental…
Mais la dissolution est désormais sur la table et les subventions massives que reçoit l’UNEF sont pointées du doigt.
Preuve récente numéro deux : le saut en arrière du gouvernement avec son « attestation »
Souvenez-vous, au début de ce 3e « confinement ».
La nouvelle attestation de déplacement était un « chef-d'œuvre » de bureaucratie hors sol, digne des Shadoks.
Une liste longue comme le bras et un enchevêtrement de cas différents…
Tellement délirante qu’elle a fait l’unanimité contre elle.
Il n’y a pas eu besoin de croupir au fond d’une tranchée pendant des mois.
En UNE SEULE matinée de mobilisation en ligne, le gouvernement a fait machine arrière !
Les Damoclésiens le savent bien : Internet est un formidable champ de bataille, où se joue une grande partie de la politique de la France.
Et votre Association agit avec efficacité.
Non seulement les mobilisations des Damoclésiens entravent les adversaires, mais elles les font reculer.
En effet, votre communauté permet d’impulser vos sujets et de les imposer dans les débats.
Ce que les politiques et les médias de propagande aimeraient glisser sous le tapis, vous le mettez en Une des réseaux sociaux !
Immigration, insécurité, liberté d’expression…
Avec l’Arme de Mobilisation Massive, vous obligez les députés à répondre à vos questions.
Et bon gré mal gré, la presse finit par suivre !
Et vous faites reculer le gouvernement. Ou avancer, quand il le faut.
Voilà pourquoi Damoclès est le Premier Média de Mobilisation.
Les 768 000 Damoclésiens martèlent leur message, comme le marteau sur un fer rouge.
Pour sauver la France, vous n’avez pas besoin de faire des actes spectaculaires.
Signer une pétition...
Alerter vos proches...
Transférer un email...
Partager un visuel-citation...
Contacter votre député...
… Votre héroïsme se réalise au quotidien.
Pour tout cela, un immense merci.
Pour la France !
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès
PS. Et parce que Damoclès, c’est d’abord des Damoclésiens, voici quelques-uns des nombreux témoignages que l’équipe reçoit régulièrement. Ils donnent du cœur au combat.