En résumé : la médecine naturelle est désormais considérée comme une “dérive sectaire”, amendable par la loi et passible de prison pour ceux qui la font, ceux qui en parlent et ceux qui l’utilisent.
Tout cela sous couvert de “protéger la population française des charlatans qui mettent en péril leur vie”.
Mais voyons ! À ma connaissance, les vaccins ont davantage d’effets secondaires que les huiles essentielles !
Et surtout, les médecines alternatives sont assimilées à des vraies sectes comme l’Ordre du Temple Solaire – qui, lui, a vraiment tué.
Bref, le 19 décembre, le projet de loi est présenté au Sénat pour être voté.
Mais les sénateurs, à juste titre, prennent peur : pour eux, ce projet de loi porte atteinte aux libertés individuelles.
Les ministres macronistes sont déboutés. Mais ils ne démordent pas, comme des pitbulls excités. Ils portent le projet à l’Assemblée le 13 février.
Rebelote : le projet est rejeté.
Jusqu’à ce qu’une pirouette administrativo-légale – l’article 101 du Règlement de l’Assemblée5 – permette aux Ministres de REVOTER le projet le 15 février.
Et cette fois c’est la bonne : le projet passe.
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