Toutes les preuves sont là :
le glyphosate est un poison. Il faut empêcher l’union européenne de voter sa réintroduction massive !
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GLYPHOSATE :
NON À 10 ANS DE PLUS !!!
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Signez ici en URGENCE la pétition pour INTERDIRE définitivement le GLYPHOSATE
En 2006, Sabine Grataloup est enceinte, mais elle ne le sait pas.
Alors elle ne se méfie pas lorsqu’elle pulvérise du glyphosate sur le manège de son centre équestre pour le désherber.
L’année suivante, elle met au monde un garçon, Théo, atteint de graves malformations du larynx, de l’œsophage et du système respiratoire.
Il faudra plus de quinze ans, et cinquante-quatre interventions chirurgicales pour que l’enfant « parvienne à manger par la bouche, à respirer par trachéotomie et à parler par voie œsophagienne ».
Pour sa mère, le lien avec le glyphosate est évident.
Pour le Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides aussi, puisqu’il vient de reconnaître que le handicap de Théo était lié à l’exposition de sa mère au glyphosate pendant sa grossesse.
Pour de très nombreux scientifiques, le glyphosate est bien un poison :
« Le glyphosate est une molécule génotoxique, c'est-à-dire qu'elle entraîne des modifications de l'ADN, explique ainsi le Dr Pierre-Michel Perinaud, président de l'association Alerte des médecins sur les pesticides1
« D'autres études montrent que le glyphosate est aussi un perturbateur endocrinien, ce qui est particulièrement grave pour les enfants en bas âge et la femme enceinte
Mais pour l’UNION EUROPEENNE, ni la vie de Théo, ni les preuves scientifiques n’ont la moindre importance.
Car elle s’apprête à renouveler son feu vert à l’utilisation massive du glyphosate POUR 10 ANS DE PLUS !!!!
10 ans de glyphoste en plus. ET COMBIEN DE NOUVELLES VICTIMES DE CE POISON ?
Un premier vote a eu lieu le 13 octobre.
Les 27 pays européens n’ont pas réussi à s’entendre, et il y aura donc un nouveau vote en novembre prochain.
Voilà pourquoi je vous demande de vous mobiliser en URGENCE, car le pire pourrait réellement se produire.
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En novembre prochain, Bruxelles va donc essayer une nouvelle fois de faire un hold-up sur notre santé en AUTORISANT le glyphosate pour dix ans de plus.
L’opinion publique française est pourtant VENT DEBOUT : 70.5 % des Français pensent que l’utilisation du glyphosate devrait être interdite dans l’Union européenne ;
Officiellement, les pouvoirs publics sont d’ailleurs sur la même longueur d’onde ;
Sur les plateaux télévisés, les responsables politiques sortent les violons : « nous faisons le maximum contre les pesticides, nous allons interdire le glyphosate, protéger les abeilles, favoriser l’agriculture bio »…
Mais en coulisses, ils font EXACTEMENT LE CONTRAIRE.
Ils cherchent à temporiser. A gagner du temps.
Comme ils l’ont fait avec le tabac ou la malbouffe.
Comme ils l’ont fait avec l’amiante2
Regardez le temps qu’il a fallu pour l’interdire vraiment :
- Dès 1898, en Angleterre, un inspecteur des usines écrit dans son rapport annuel que les risques de l’amiante pour la santé sont « aisément démontrés ».
- En 1906, à Caen, l’inspecteur du travail Denis Auribault écrit un rapport pour dénoncer la forte mortalité des ouvriers dans les filatures et dans les usines de tissage d’amiante ;
- En 1919, les compagnies d’assurances américaines et anglaises suppriment leurs garanties pour les entreprises fabriquant des matériaux contenant de l’amiante…
- 1975 : les journaux télévisés informent du risque de cancer lié à l’amiante, et du risque de décès.
- 1976 : une conférence du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe l’amiante comme « cancérigène avéré » pour l’homme.
Mais en France, l’usage de l’amiante n’a été interdit qu’en…1997.
C’est exactement la même chose qui risque de se passer avec le glyphosate si on l’autorise dix ans de plus.
ALORS ASSEZ TERGIVERSE !
C’est pourquoi nous devons nous mobiliser pour exiger des pouvoirs publics d’en finir MAINTENANT avec les pesticides chimiques et favoriser une agriculture respectueuse du vivant
PAS DANS 10 ANS !
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Si nous n’agissons pas, combien de temps ce « petit jeu » va-t-il se poursuivre ?
Le président MACRON lui-même avait promis la fin du glyphosate…en 2017 :
« J’ai demandé au gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour que l’utilisation du glyphosate soit interdite en France dès que des alternatives auront été trouvées, et au plus tard dans 3 ans. »
…6 ans après : on l’utilise toujours !!!3
L’actuel ministre de l’agriculture, Marc Fesneau, s’est récemment dit « favorable au maintien du glyphosate »4
Avant lui, son prédécesseur Didier Guillaume, a affirmé qu’il n’y avait « aucune preuve scientifique » sur les conséquences de l’usage des pesticides.
Sérieusement ?
Et l’explosion du nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ?
Et la maladie de Parkinson, qui est reconnue comme maladie professionnelle chez les agriculteurs depuis 2012, avec un lien de causalité établi entre cette maladie et l'usage des pesticides5 ?
Et la stérilité croissante de milliers de jeunes adultes, en particulier dans les régions agricoles6?
Et le nombre de cancers qui explosent ? Avec là-aussi des études qui soulignent une augmentation du cancer de la prostate de 40 % chez les hommes exposés au DDT et aux pesticides organochlorés7.
Et il faudrait EN REPRENDRE POUR 10 ANS ????
HORS DE QUESTION !!!
Sans une pression maximale, les lobbys du tout chimique vont réussir à encore gagner du temps et rien ne changera.
Nous devons obtenir d’ici novembre la fin définitive du glyphosate.
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Les mensonges, les petits arrangements doivent cesser.
Le président de la République doit tenir ses engagements, et en finir avec les pesticides chimiques, dont le plus connu d’entre eux : le glyphosate.
Face à ce coup d’état contre la Nature et contre notre santé montrons leur que nous sommes déterminés ! Les engagements pris doivent être tenus !
Il faut en finir avec les produits chimiques qui martyrisent la nature et nous rendent malades.
Mais c’est maintenant qu’il faut agir !!!
PAS DANS 10 ANS !!! MAINTENANT
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Je compte sur votre mobilisation ! Nous avons très peu de temps.
Un grand merci,
Guillaume Chopin
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Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH)
Case postale - 1211 Genève 3 - Suisse
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