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  • cardiaques (cardiomyopathie provoquée par le stress, insuffisance cardiaque, troubles du rythme cardiaque…) ;
  • cutanés (érythème polymorphe, lésions type engelures, vasculite…) ;
  • gastro-intestinaux (affections hépatiques aiguës) ;
  • hématologiques (AVC, embolie pulmonaire, thrombocytopénie…) ;
  • immunologiques (arthrite et diabète) ;
  • neurologiques (anosmie, convulsions généralisées, méningoencéphalite…) ;
  • rénaux (insuffisance rénale aiguë) ;
  • respiratoires (syndrome de détresse respiratoire aiguë) ;
 

L'ANSM a également listé les effets indésirables déjà observés et sous surveillance, à savoir :

  • des thrombopénies ;
  • des zonas ;
  • de l’hypertension artérielle ;
  • des troubles du rythme cardiaque ;
  • des complications diabétiques ;
  • des échecs vaccinaux ;
  • des syndromes de Guillain-Barré.

Ce dernier effet secondaire fait d’ailleurs partie des faits notables relevés par l’ANSM entre le 26 mars et le 1er avril, car deux nouveaux cas ont été recensés, portant à trois le nombre de personnes touchées par le syndrome de Guillain-Barré après l’injection. Si le sérum Pfizer/BioNTech ne semble pas être en cause pour deux de ces cas, "un rôle du vaccin ne peut être exclu" pour le dernier. "Ces évènements continueront à faire l’objet d’une surveillance spécifique dans les prochains rapports avec expertise neurologique par le CRPV référent", indique l’ANSM.

Un cas de thrombose cérébrale fait également partie des faits notables relevés par l’ANSM. Cependant, il "présente un tableau clinique différent de ceux observés avec le vaccin Vaxzevria d’AstraZeneca et ne montre pas, comme l’ensemble des événements thromboemboliques rapportés avec Comirnaty (le vaccin Pfizer/BioNTech, ndlr), de spécificité particulière en faveur d’un rôle du vaccin", peut-on lire dans le rapport.

 

Ces effets secondaires ne remettent pas en cause la fiabilité du vaccin Pfizer/BioNTech. Tous les vaccins anti-Covid sont d'ailleurs "sûrs, efficaces et vous protégeront contre une maladie qui peut être vraiment dangereuse", a rappelé sur Europe 1 le 14 avril Steve Pascolo, chercheur immunologue à l'hôpital universitaire de Zurich (Suisse).

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