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Affaire DTP et aluminium : comment j’ai dû m’intéresser aux vaccins  


Chère amie, cher ami,
 

En 2015, je suis informé par des lecteurs d’une affaire dont absolument PERSONNE ne parle.

La loi oblige les enfants à être vaccinés contre trois maladies : diphtérie, tétanos et poliomyélite.

Mais les SEULS vaccins disponibles sur le marché contiennent 6 souches vaccinales. Ont été ajouté au vaccin classique, d’autres maladies qui n’entrent pas dans l’obligation vaccinale : hépatite B, coqueluche, influenza.

L’ancien vaccin DTP a été remplacé en 2008 par de nouveaux “super vaccins”.

Le prix aussi a changé. De 6,90 € en 2008, il est passé à 39 € en 2015.

Les vaccins obligatoires sont remboursés et personne n’a dénoncé cette évolution...

Mais il y a plus inquiétant. Ces “supervaccins” n’utilisent plus le même adjuvant.

Au phosphate de calcium qui ne présentait pas de danger particulier a été préféré l’aluminium, moins cher, mais très TOXIQUE.

Ce métal provoque, lorsqu’il rentre dans le cerveau, des maladies neurodégénératives comme Alzheimer (1).

Il est la cause de nombreux effets secondaires, s’il n’est pas éliminé par le corps (2).

Et à ce niveau-là, tout le monde est très différent. Chez certains les conséquences sont dramatiques.

On a donc sciemment décidé d’injecter des vaccins à l’aluminium à l’ENSEMBLE des tout-petits sans que personne n’ait été consulté, essentiellement pour une histoire de GROS SOUS.

C’est un scandale sanitaire et financier.

1 million de signatures !

Avec le professeur Henri Joyeux, nous lançons une grande pétition qui réunit, en quelques mois à peine, 1,1 million de personnes.

Quelque temps plus tard, Maître Jacqueline Bergel me propose d’adresser une requête au ministère dans le cadre d’une action collective.

Je soumets l’idée aux lecteurs d’Alerte Santé.

Nous sommes 2256 à saisir la Ministre de la santé de l’époque, Marisol Touraine (3).

Nous lui demandons de remettre sur le marché un vaccin DTP sans aluminium et sans les autres vaccins non obligatoires.

La ministre ne répond pas.

L’affaire est portée devant le Conseil d’Etat.

La justice nous donne raison !

La ténacité de Maître Bergel, qui relance sans arrêt le ministère et le Conseil d’Etat paye. Nous obtenons une audience dans un délai raisonnable.

Au sein de l’institution, le débat fait rage.

C’était le sujet défendu dont tout le monde parle dans les couloirs.

Et in fine....

Le 8 février 2017, le Conseil d’Etat nous donne raison.

La décision se trouve ici.

Le Conseil d’Etat constate une DISCORDANCE entre ce que le marché propose et l’obligation vaccinale imposée à la population.

L’institution dit ceci :

“...les dispositions législatives créant trois obligations de vaccination impliquent nécessairement que les personnes qui doivent exécuter ces obligations puissent le faire sans être contraintes de soumettre leur enfant à d’autres vaccinations, auxquelles elles n’auraient pas consenti librement.”

 Lors de l’audience, le rapporteur dit “qu’en l’état actuel des connaissances scientifiques”, il n’est pas possible pour le Conseil d’Etat de se prononcer sur la question de l’aluminium.

Nouveau gouvernement et nouvelles obligations vaccinales !

 A ce moment-là, nous savons que cette victoire, si belle qu’elle soit, risque d’être notre Gergovie.

La puissance de l’industrie pharmaceutique est considérable. Elle va mettre tout son poids dans la bataille pour que la décision du Conseil d’Etat n’aboutisse pas.

Dans un premier temps, le gouvernement se tait. Rien ne bouge. C’est la fin du mandat du Président Hollande. Aucune décision n’est prise. Un “grand débat” sur la vaccination a eu lieu dont les conclusions sont qu’il faut vacciner davantage.

La fin de l’année 2017 et les débuts de 2018 sont occupés par l’élection présidentielle.

Vient la nouvelle équipe. Et, fait étonnant, l’un des premiers engagements du 1er ministre est d’élargir l’obligation vaccinale (4).

A l’évidence, la question des vaccins a été coordonnée au niveau européen.

Car en même temps que la France décide de prendre le chemin d’une obligation vaccinale renforcée, d’autres pays répondent à la même question :

 

  • L’Allemagne et la Suède déclarent l’obligation vaccinale contraire à leurs constitutions respectives ;
  • En Italie, la question s'immisce dans les débats politiques au moment des élections nationales. Elle joue probablement un rôle sur le résultat final.

 

Un plan mondial pour une couverture vaccinale maximale

Pourquoi ces différents Etats se sont-ils positionnés en même temps ?

Parce qu’il existe un plan mondial de la vaccination, orchestrée par l’ONU. Les Etats sont tenus d’atteindre des objectifs de couverture vaccinale d’ici 2020.

En effet, voici l’ambition déclarée des Nations Unies :

“Atteindre 90% de couverture nationale et 80% dans chaque unité administrative pour tous les vaccins dans les programmes nationaux” (5).

 

Ce plan concerne tous les Etats membres de l’ONU. Soit 193 états dans le monde (6). Ce qui représente la quasi-totalité des états de la planète : l'institution en compte 197.

Notez, cependant, que seule la France a pris une décision aussi violente vis-à-vis de sa population :

11 vaccins sont rendus obligatoires pour les enfants sous peine de prison.

C’est du jamais vu !

Même en Corée du Nord, une telle obligation n’existe pas !

En France un débat muselé par les autorités et les médias !

Ces développements ont profondément marqué mon esprit.

En quelques années, j’ai pu voir :

  • Un gouvernement (Hollande) nier un scandale d’Etat avec le soutien de l’ensemble des médias ;
  • Ce même gouvernement orchestrer un faux débat citoyen pour détourner l’attention ;
  • Une nouvelle équipe politique passer en force sur ce même problème sans qu’aucun journaliste ne trouve rien à y redire ;
  • Une communication autour de la question des vaccins savamment muselée ;
  • La mise en place d’une chasse aux sorcières systématique à l’égard de toute personne publique osant poser la moindre question sur la vaccination.

Petit à petit, il est devenu impossible pour toute personne de bonne volonté de poser une question sur :

  • La vaccination en général ou tel ou tel vaccin en particulier ;
  • Le calendrier vaccinal ;
  • Les adjuvants dans les vaccins ;
  • L’âge auquel les enfants sont vaccinés ;
  • Les rapports entre l’Etat et l’industrie pharmaceutique ;
  • L’indépendance des experts qui mènent les études sur les vaccins.

 Bref, le sujet est devenu totalement tabou.

Je connais peu de sujets qui soient aussi bien verrouillés. Et contrairement à ce qu’affirment les autorités, cette attitude agressive de leur part n’aide pas beaucoup pour rétablir le lien de confiance avec elle.  

Haro sur l’aluminium !

De notre côté, nous avons décidé de continuer à avancer sur la question de l’aluminium.

Ce point n’a pas été tranché par le Conseil d’Etat dans sa décision du 8 février 2017.

Pourtant les études sur l’aluminium ne manquent pas.

Les chercheurs savent qu(e) :

  • Ce métal est toxique ;
  • Il n’a rien à faire dans le corps des êtres vivants : c’est un métal qui est fait pour rester dans la croûte terrestre. Il n’est d’aucune utilité dans les mécanismes biologiques des organismes vivants, contrairement à d’autres métaux ;
  • Il peut se loger dans le cerveau ;
  • Il peut provoquer de graves maladies neurodégénératives.

 

Jusqu’à présent, personne n’a pris la peine de monter un dossier et de le présenter devant le Ministre de la santé et le Conseil d’Etat.

A nouveau, nous avons mobilisé nos lecteurs.

Et cette fois, 3055 requérants ont réuni leurs forces.

Notre avocate, Maître Jacqueline Bergel a constitué un solide dossier.  

Elle a réuni plus de 85 pièces sur le sujet !

Comme elle, je suis désormais convaincu que l’aluminium ne devrait absolument pas se trouver dans les vaccins.

Hélas le rapporteur Conseil d'Etat refuse de suivre nos conclusions.

Est-ce en raison de l’entrée récente de Yves Levy au conseil d’Etat, le mari d’Agnès Buzyn?

Ancien directeur de l’INSERM et réputé très proche des laboratoires pharmaceutiques, il est entré au sein de l’institution en octobre 2018, en tant que Conseiller d’état extraordinaire (7). C’est une procédure rare. Ils ne sont que 12 dans cette situation… Etrange, non?

In fine, le Conseil d’Etat décide de ne pas faire retirer l’aluminium dans les vaccins.

C’est le statu quo.

L’industrie Pharmaceutique a gagné cette bataille.

Mais l’IPSN n’a pas dit son dernier mot !

D’autres combats sont en préparation...

 

Naturellement vôtre,

 

Augustin de Livois 


 

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