La procession attaquée commémorait les martyrs de la Commune de Paris, fusillés le 24 mai 1871, parmi lesquels Mgr Georges Darboy, alors archevêque de la capitale.
Elle était composée de familles, venues avec poussettes, de personnes âgées, de scouts et d’enfants de chœur.
« L'objectif était purement religieux, il n'y avait aucune revendication politique dans notre démarche », a précisé Monseigneur Jachiet, évêque auxiliaire de Paris.
C’est donc bien la haine de la religion chrétienne et rien d’autre qui est à l’origine de cette agression.
Les héritiers autoproclamés des Communards, ont sifflé et invectivé les paroissiens depuis les terrasses des cafés.
Puis des drapeaux rouges sont apparus et des menaces de mort ont été lancées.
« On se serait cru 150 ans en arrière, c'est surréaliste », raconte l'organisateur de la procession au Figaro.
Après les menaces, les agresseurs sont passés aux actes : une horde d’antifas cagoulés a roué de coups les fidèles.
Heureusement, les paroissiens ont trouvé refuge en l’église Notre-Dame de la Croix, sinon cela aurait pu très mal finir…
« On a attendu en priant, jusqu'à ce que la police nous exfiltre », témoigne l’organisateur de la procession.
Vous pouvez imaginer l’angoisse des enfants et de leurs parents réfugiés dans l’église…
Ce sont là des scènes qui évoquent les massacres de Septembre 1792 ou la répression de la Vendée par Turreau !
Exigez la dissolution des collectifs d’Action Antifasciste en signant la pétition adressée à Gérald Darmanin.
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