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La terreur s’accentue en Algérie …
Contre les enseignants, et les femmes enseignantes en tout premier lieu, bien sûr.
L’article de Joël qui suit est effrayant sur leur situation actuelle.
N’oublions jamais que la lutte des « glorieux combattants du FLN » a débuté, en 1954, par l’assassinat d’un couple d’instituteurs français, qui allait, horribles exploiteurs qu’ils étaient, prendre un poste au fin fond de l’Algérie …
Le système scolaire et universitaire est totalement effondré en Algérie.
Contrairement au Maroc, l’Algérie n’est plus capable d’envoyer un seul de ses ressortissants dans les grandes écoles françaises.
Ce pays est en pleine décomposition.
Quant à nous, nous devons exiger de nos « gouvernants » de ne plus payer les pots cassés de ce règime FLN, assassin et corrompu, par une invasion redoublée d’Algériens chez nous.
Antiislam.
Même chez eux, ils ne veulent rien apprendre, donc on voit bien que ce n’est pas une question de moyens :
Algérie : après les violentes agressions et le viol de neuf institutrices, des dizaines d’enseignantes terrorisées fuient Bordj Badji Mokhtar.
Aujourd’hui, cinquante sept enseignantes, tout cycle confondu, ont quitté la ville par avion, trente huit autres ont pris le risque de faire le voyage par route, jusqu’à Adrar (770 km en grande partie en piste), dans des camions, et vingt autres sont parti mercredi dernier, fuyant le climat de terreur, qui règne depuis l’agression menée en pleine nuit, contre neuf institutrices à l’intérieur de l’école N°10 de Bordj Badji Mokhtar, où elles enseignent.
Les agresseurs ne sont pas étrangers à la ville. Ils sont connus des services de sécurité. Ce sont des récidivistes et n’ont jamais été inquiétés.