C’est une véritable scène de désolation.
Peu après Noël, le cimetière de Fontainebleau a fait l’objet d’une profanation massive.
Le lundi 28 décembre 2020, au petit matin, près de 70 tombes chrétiennes ont été retrouvées taguées d’une ou plusieurs croix gammées.
L’ensemble des tombes taguées sont toutes chrétiennes, et clairement visibles comme telles, d’après l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.
Si même le repos de nos morts n’est pas respecté, à quoi devons-nous attendre ?
C’est hélas loin d’être un acte isolé…
Souvenez-vous de ce qui s’est passé l’été dernier.
A Saveuse (Somme), une quinzaine de sépultures du cimetière communal ont été vandalisées le 4 août 2020.
Des plaques mortuaires ont été retournées ou cassées, des croix déplacées ou endommagées.
Le 11 août, à Lannemezan, dans les Pyrénées, une soixantaine de tombes ont été vandalisées.
Des pots de fleurs ont été cassés, des plaques commémoratives brisées, des croix renversées…
Avant cela bien d’autres profanations de cimetières chrétiens ont eu lieu, sans guère provoquer d’indignation.
Cette fois, après la profanation à Fontainebleau, le ministre de l’Intérieur a réagi sur Twitter.
Gérald Darmanin a promis qu’il ne laissera rien passer « face à ceux qui déversent la haine. »
Mais la haine de qui ? Au nom de quoi ?
Le ministre s’est bien abstenu de le préciser !
Ça suffit, il est temps que les catholiques de France s’unissent pour dénoncer haut et fort les attaques dont nous, chrétiens, faisons l’objet en raison de notre religion.
C’est pour cela que je vous invite à vous joindre aujourd’hui-même au Réseau Notre-Dame des Victoires par un don mensuel.
Votre aide régulière m’aidera à mobiliser les catholiques chaque fois que cela est nécessaire.
|