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Pourquoi en veulent-ils tant à Noël ? Parce que cette fête nous rend heureux... Et il ne faut pas qu’on soit heureux pour qu’ils puissent nous imposer leur programme mondialiste démentiel.
Pourquoi en veulent-ils tant à Noël ? Parce que cette fête est clairement identitaire, elle concerne en effet notre peuple et tous ceux qui veulent vivre à la Française, et on sait que la plupart des musulmans aborrhent cette fête car ils la relient à Jésus et au Dieu des chrétiens, ce qui est un blasphème pour Mahomet.
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Macron aurait-il décidé de retourner les choses et de supprimer toute cause de « séparatisme » identitaire français en faisant disparaître les grands fondamentaux de notre mode de vie, au lieu d’exiger des musulmans qu’ils se fondent dans la nation et vivent en France comme les Français ? Je le soupçonne d’avoir pensé à nous priver de Noël pour nous rapprocher des musulmans… entre le Maire de Bordeaux qui supprime l’arbre de Noël et Macron qui va nous interdire Noël ; ça fait trop pour que ce soit le fait du hasard.
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Il y a trop de petites phrases de politiques, de gens « dans l’entourage » des politiques… relayés par les medias. Ils sont en train de nous préparer à la prolongation du confinement ad vitam aeternam. Jusqu’au vaccin ?
Les petites phrases des proches de Macron-Castex-Véran se multiplient dans les journaux proches du pouvoir, Le Monde, Libé… Petites phrases reprises ou utilisées dans le reste de la presse.
Le Parisien
Covid-19 : faut-il absolument atteindre les «5000 cas» quotidiens pour déconfiner ?
Les autorités craignent désormais que ce chiffre soit inatteignable d’ici le 15 décembre. Cette jauge est cependant plus symbolique que scientifique.
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L’Internaute
Confinement : la date du déconfinement en question, quelles règles pour Noël ?
DÉCONFINEMENT. La fin du confinement, fixée au 15 décembre, pourrait être reportée. Le gouvernement va devoir trancher : des annonces, également sur les règles pour Noël, sont prévues ce jeudi.
Le scénario d’un couvre-feu durci pour les fêtes, commençant vers 17h, serait aussi étudié.
« Nous sommes à un plateau. On s’achemine vers quelque chose de plus strict que ce qu’on avait espéré initialement ».
Selon les informations de BFMTV, le gouvernement envisage plusieurs solutions. Le couvre-feu étendu en fait partie, il passerait alors du créneau 21h-7h au créneau 19h-7h, voire 17h-7h. Autre possibilité, le maintien de l’attestation de sortie « qui permet de rappeler aux Français qu’on n’est pas encore revenu à la normale et que le déplacement reste l’exception », souligne un conseiller ministériel. Enfin, Emmanuel Macron pourrait revoir sa décision d’accorder une levée du couvre-feu pour les nuits du 24 et 31 décembre.
Le seuil des 5 000 nouveaux cas par jour ne sera pas atteint le 15 décembre. Même si ce n’est pas un chiffre magique, c’est le seuil où il est possible de maîtriser l’épidémie: les ARS (agences régionales de santé), les caisses d’assurance maladie ne sont pas débordées pour tracer les cas contacts, les clusters ne sont pas trop nombreux, on peut remonter les chaînes de contamination. »
Interrogée par Le Parisien, l’épidémiologiste Dominique Costagliola se refuse à dire qu’un déconfinement au 15 décembre, dans l’état actuel des choses, serait raisonnable. Quand bien même l’étape du couvre-feu doit prendre le relais du confinement, les chiffres sont encore trop mauvais selon elle. « Compte tenu de la situation, je pense qu’on ne peut pas passer à l’étape 2 et qu’il faut s’en tenir à la 1, le confinement. Je ne vois aucune raison d’alléger les mesures actuelles. Peut-être à Noël, mais quand on sait ce qui s’est passé à Thanksgiving… « , juge-t-elle, faisant référence au boom épidémique ayant suivi les célébrations de cette fête traditionnelle aux Etats-Unis. Sur Twitter, le microbiologiste belge Emmanuel André estimait ce lundi que les réunions occasionnées par Thanksgiving avaient « détruit en un jour des semaines d’efforts”.
La réponse de Raoult à tous ces médiocres : le confinement n’est pas la réponse. Il faut soigner, avec l’hydroxychloroquine… et ne pas imposer à toute la France les règles de Paris.
