Les médias n’en parlent pas, et pourtant…
Les attaques contre nos symboles chrétiens s’accélèrent !
Mi-août, plusieurs profanations ignobles ont été commises en quelques jours.
Le 8 août, à Chavanges, dans l’Aube, l’église Saint-Georges a été cambriolée.
Deux grands calices, cinq ciboires et une patène ont été dérobés.
Plus dramatique encore, il est possible que les saintes espèces aient été profanées.
À Saint-Gilles-Croix-de-Vie, en Vendée, une statue de la Sainte Vierge d’environ un mètre de haut a disparu au centre de soin de la Villa Notre-Dame.
« C’est un symbole fort, même si nous sommes un établissement laïc », a déploré le directeur de l’établissement.
Pourquoi voler une statue en fonte dont la valeur matérielle est minime ?
Pour commettre une profanation ?
Pour se débarrasser d’un symbole chrétien ?
Voilà des questions qui méritent réponses.
Mais, pour cela, encore faut-il arrêter le coupable !
Malheureusement, on peut douter que ce genre d’enquête soit prioritaire pour ceux qui nous gouvernent.
Le précédent ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, ne s’est-il pas contenté d’évoquer un « chiffre stable » à propos du millier d’acte antichrétiens commis en France l’année dernière ?
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