Les médias le cachent, mais nous sommes face à une persécution qui ne dit pas son nom.
Comment appeler autrement ces attaques à répétitions ?
« Le nombre de provocations et d’agressions antireligieuses […] ne cesse de croître dans notre pays […], il serait irresponsable de ne pas s’en inquiéter ou d’en minimiser la gravité », a mis en garde l’évêque de Bayonne, Mgr Aillet, en janvier dernier.
Qu’a fait le gouvernement depuis lors à part quelques déclarations, fort timides d’ailleurs ?
Le plus inquiétant est que les attaques contre nos sanctuaires n’ont pas toujours des motifs crapuleux, loin de là…
Bien souvent, ils sont commis par pure haine.
Comment expliquer autrement que les saintes espèces sont régulièrement prises pour cible ?
En 2019, à Nîmes, le tabernacle de l’église Notre-Dame des Enfants a été forcé, les hosties jetées sur le sol et collées sur une croix dessinée avec des excréments !
Qu’est-ce qui peut motiver un acte aussi horrible sinon la haine du Christ et des chrétiens ?
Durant le confinement la croix du Pic Saint-Loup, près de Montpellier, a été sciée au chalumeau.
Des inscriptions sans équivoque ont été taguées à la peinture rouge sur le socle où elle se dressait : « Le pic laïque », « witch power » (« pouvoir de sorcière »)...
Pourquoi s’en prendre ainsi à nos calvaires ?
S’il vous plaît, aidez-moi à alerter et à mobiliser les Français !
Vous savez que nous ne pouvons pas compter sur les grands médias pour tirer la sonnette d’alarme.
La seule solution est d’écrire directement aux Français comme je le fais avec vous aujourd’hui.
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