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Totalitarisme de la santé, distance sociale et peur du contact






Le récit de la « protection de la santé » a un impact sur les discours de droite comme de gauche, créant une atmosphère « d’unanimité face au danger ». Le discours des médias de presque toutes les orientations politiques propose une obéissance aveugle à la stratégie globale d’emprisonnement massif et de paralysie de l’économie.

Les insoumis qui se rebellent contre le mandat d’isolement et de quarantaine sont punis d’une peine d’emprisonnement ou d’une amende. Un faux bon sens s’installe selon lequel la violation des dispositions du nouveau totalitarisme de la santé est une attaque contre d’autres personnes. Derrière ce concept se cache l’idée que chaque personne est en soi un danger pour les autres.

La notion de « distance sociale » émerge, qui est typique des « bonnes manières en matière de santé » : éviter les réunions de plus de 10 personnes, ne pas se serrer la main, et essayer de rester à au moins un mètre des autres. Cette perspective « isolationniste » de la santé est totalement non scientifique si elle néglige l’impact émotionnel qu’elle implique.

Antonio Damasio montre que tout comme les états de joie sont sains, les états de tristesse et de peur provoquent un déséquilibre fonctionnel. À l’heure actuelle, il semble peu important de savoir si l’isolement et l’inactivité entraînent une augmentation de la dépression ou de l’obésité, ou si la peur induite et l’endettement généralisé augmentent le taux de suicide. Pourquoi ces préjudices potentiels pour la santé publique ne sont-ils pas pris en compte dans « l’opération de prévention » ?

Le toucher n’est pas seulement un stimulus agréable : c’est une nécessité biologique. Philippe K. Davis dans son livre « The Power of Touch. Le contact physique dans les relations humaines » résume que la stimulation de la peau est l’un des 10 besoins fondamentaux de l’être humain, et vital pour les personnes âgées et les malades.

Il y a environ 70 ans, la vision du Dr Emmerth Holt sur l’éducation des enfants est devenue une doctrine officielle aux États-Unis. Il a recommandé de ne pas bercer les bébés et de ne pas les tenir quand ils pleurent. Lorsque la doctrine Holt a été appliquée massivement, la mortalité infantile des enfants de moins d’un an élevés dans des orphelinats atteignait 50 %.

Encourager la peur du contact et la proximité avec les autres est un autre signe de l’empreinte mondialiste de cette « crise sanitaire ». C’est une attitude qui est fonctionnelle à l’érosion de l’empathie et des réseaux affectifs, et à la promotion d’une société tournée vers un modèle de « payer pour être touché » (massages, sexe, autres services payants) qui remplace le contact naturel de l’amour conjugal, familial et communautaire.

Les projets législatifs visant à interdire les réunions de plus de 25 personnes vont dans le même sens : une atteinte à la convivialité, à la vie sociale et communautaire, qui deviendra une « hérésie irresponsable » dans un monde de personnes confinées par la loi dans leur foyer individuel.

 

Mémoires de l’avenir : ce que les auteurs du montage prévoient




Un mois avant l’épidémie de Wuhan en octobre 2019, un groupe d’organisations mondialistes a organisé un exercice de simulation de confinement d’une pandémie : « Event 201″. Un exercice de pandémie mondiale ». À New York, un groupe « d’experts » réuni par l’université John Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum de la Banque mondiale et d’autres « groupes de réflexion » a débattu de la question de savoir si l’humanité est prête à contenir les effets de la propagation incontrôlée d’une maladie.

   « Quel était le nom, dans le récit fictif de l’exercice, de l’agent pathogène mortel qui a déclenché une crise avec des millions de morts ? » Réponse : Coronavirus.



Ce n’est peut-être pas une coïncidence. Les cerveaux mondialistes aiment anticiper publiquement, en code, certaines opérations de grande envergure.

L’événement 201 n’est pas le seul signe avant-coureur : un document de la CIA datant de 2015 prévoit une pandémie originaire de Chine, parmi les « populations en contact avec les animaux », d’ici 2025. Le coronavirus est également mentionné.

Selon les experts réunis dans le cadre de l’événement 201, que peut-il se passer dans le monde ? Quelles mesures seraient nécessaires dans ce scénario ? Les scénarios de l’élite contiennent toujours des graines d’avenir :

   - La fermeture des frontières est à l’origine de 45 % des annulations de vols. Les pays qui vivent du tourisme sont durement touchés. Les marchés boursiers chutent de 40 %. Le PIB mondial est réduit de 11 %. Les établissements de crédit n’accordent plus de prêts et les conséquences de la crise se prolongent pendant une décennie. Tout semble ouvrir la porte à une remise à zéro du système financier.

   - La « désinformation » sur Internet provoque la panique. La réduction des services et le contrôle des réseaux sociaux et des médias traditionnels deviennent nécessaires. Un protocole de communication est établi. Les théories de conspiration et les « faux messages » sont supprimés dans les réseaux. Exemple : « Les agents de santé en Afrique sont des agents de stérilisation » ou « Ils ont propagé le virus pour s’approprier nos ressources naturelles ».

   - Après une période où la pandémie semble décliner, elle se propage dans les villes de manière explosive. 61 millions de personnes meurent au cours des 18 premiers mois. Des soulèvements populaires se produisent et la loi martiale est nécessaire pour contrôler la situation.

   - L’épidémie ne cède pas en raison de son cycle naturel, ni de la capacité des organismes à se défendre. La crise ne semble jamais se résorber, à moins que des vaccins ne soient mis au point. Tous les efforts médicaux sont dirigés dans cette direction.

 


La loi martiale et la vaccination forcée en vue




En résumé : l’exercice suggère que la situation sera si grave qu’il sera nécessaire de suspendre les libertés et garanties constitutionnelles et, bien sûr, d’introduire la vaccination forcée. Les programmes sont prêts :

   - ID2020 est une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination à grande échelle comme plate-forme pour l’identité numérique.
   - La GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, est présentée sur son site web comme un partenariat mondial d’organisations de santé des secteurs public et privé qui se consacrent à la « vaccination pour tous ». GAVI est soutenu par l’OMS. Ses principaux partenaires et sponsors sont l’industrie pharmaceutique.

Pourquoi voudraient-ils nous vacciner à l’échelle mondiale ? Voilà qui constitue une véritable menace pour la santé.

Diario de Vallarta & Nayarit – Claudio Fabian Guevara

Sott.net, le 19 avril 2020

Traduction : Equipe de traduction Sott.net

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