On le sait, je suis loin d’être un admirateur inconditionnel de la politique et du mode de gouvernement de monsieur Poutine par trop caractérisés au fil des années par le retour grandissant d’une exaltation révisionniste du passé soviétique.
Mais l’affaire boulevardière et gravelo-grivoise du pitoyable Benjamin Griveaux aura été la source d’inquiétants signes d’un prédélirant complotisme à la tête de l’État et du mouvement d’une République chaque jour plus cafouilleuse que marcheuse.
Car imputer au gouvernement russe quelque méchante manipulation subversive, disons, de l’égarement auto-filmé de M. Griveaux, ça, il fallait le faire ! Ou alors, chapeau...Lire la suite