Chère lectrice, cher lecteur,
Pour les non russophones, il s’agit du journal soviétique la “pravda” qui, vous le savez peut-être, signifie “la vérité”.
À l'époque de l'URSS, ce célèbre journal était la publication officielle du Parti communiste et par conséquent, la voix du pouvoir.
Entendez par là propagande, désinformation mais surtout pensée unique.
Pourquoi je vous parle de ça ?
Car depuis l'apparition du coronavirus il y a maintenant plus de 2 ans, j’ai constaté un glissement.
N’avez-vous pas remarqué ? Du jour au lendemain, certains sujets sont subitement devenus interdits.
Désormais, si des voix discordantes se font entendre, notamment sur les questions vaccinales, elles sont systématiquement traînées dans la boue, traitées de “complotistes”...
… signant de fait l’arrêt de mort médiatique et social de celui qui a “dérapé”.
Fût-il scientifique émérite ou médecin reconnu.
La censure n’a jamais été aussi forte !
Vidéos ou articles supprimés, comptes de réseaux sociaux suspendus… les GAFAM, ces géants de l’Internet et des réseaux sociaux, main dans la main avec nos gouvernants, veillent au grain. Leur mot d’ordre ? Il n’y a qu’une seule vérité, la leur bien sûr. Point à la ligne.
L’an passé, Facebook a même été jusqu’à censurer un article du très sérieux British Medical Journal (BMJ), une des revues médicales les plus lues du monde1. La raison ? Un “fact-checkeur”, en français un vérificateur de faits, en réalité des commissaires de la pensée unique, a décrété que l’article était une fake news…
Voici le titre de l’article censuré par le salarié de Facebook :
Covid-19 : Un chercheur dénonce les problèmes d'intégrité
des données dans l'essai vaccinal de Pfizer2.
Bien sûr, cet article était rigoureusement exact et sourcé. Le BMJ a d’ailleurs aussitôt dénoncé la situation dans un article intitulé “Facebook contre le BMJ: quand le fact-checking tourne mal”3.
Cette anecdote révèle à quel point des commentateurs, des journalistes ou des politiciens se croyant détenteurs de la vérité en viennent à utiliser des méthodes dignes d’une dictature.
Ce glissement m’inquiète. Quelle sera la prochaine étape ?
Il est urgent d’agir pour retrouver une information éclairée, pondérée, libre et indépendante.
C’est pourquoi, pour en finir avec la censure, les mensonges et les manipulations, je vous ai préparé un dispositif de réinformation accessible jusqu’à dimanche minuit. Cliquez ICI ou sur le bouton ci-dessous pour y accéder.
|