Leur engagement idéologique ? Ils ne s'en cachent même plus.
En janvier, c'est Gilles Bornstein, de France Info, décrétant à l'antenne qu'Éric Zemmour "n'a pas le droit de venir ici".
En avril, c'est Nagui, présentateur-vedette de France 2, signant, avec d'autres collègues de France Télévisions, une tribune contre Marine Le Pen.
La direction du "service public" n'y trouve rien à redire…
Quand un présentateur météo avait sorti un livre "climato-sceptique" il y a quelques années, France Télévisions l'avait viré aussitôt. Parce que, disait sa direction, "on ne peut pas utiliser son statut professionnel, porté par l'image de l'entreprise, pour faire avancer des opinions personnelles". Mais cette fois-ci, donc, aucune sanction à l'horizon.
D'ailleurs, le journaliste spécialiste des médias Daniel Schneidermann explique que s'il faut défendre le "service public" audiovisuel, c'est parce qu'il s'efforce de résister à ce qu'il appelle la "zemmourisation des esprits".
On ne saurait être plus clair.
Ils prennent votre argent, vos impôts, pour empêcher la diffusion et la progression d'idées qui les dérangent et qui, malgré leur matraquage, malgré les milliards dont ils disposent, progressent au sein de la société.
Et si la redevance est supprimée comme prévu, cela continuera, via l'impôt sur le revenu et la TVA, sauf que les gens n'auront même plus conscience qu'on leur fait les poches pour financer cette propagande....
Alors, si vous aussi, vous en avez marre de payer pour vous faire "cracher dessus", signez la pétition :
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