Je suis, aujourd’hui, très inquiète. Alors que j’ai rassemblé près de 11 millions de voix en 2017, et que les sondages m’accordent plus de 46% des intentions de vote au second tour de l’élection présidentielle d’avril prochain, je n’ai pas, à ce jour, les parrainages d’élus nécessaires pour me permettre d’être officiellement candidate.
La date limite approche et mes équipes sont entièrement mobilisées. Une opération qui nous prive, d’ailleurs, du temps et de l’énergie nécessaires pour mener la campagne présidentielle et convaincre nos concitoyens.
Il me manque aujourd’hui plusieurs dizaines de parrainages. Il ne reste que quelques jours ouvrés pour les recueillir. Aidez-moi ! Vous avez une relation privilégiée avec votre maire ? Vous avez dans vos connaissances, parmi vos proches, un maire d’une petite commune ? Sensibilisez-le à cette urgence.
Un argument simple à avancer : parrainer n’est pas soutenir. Parrainer ma candidature c’est permettre aux millions de Français que je représente de voter pour leurs idées. M’accorder un parrainage supplémentaire, c’est éviter un scandale démocratique dont nul ne peut prévoir les conséquences, alors que la France est devenue sous Emmanuel Macron une véritable cocotte-minute sociale au bord de l’explosion.
Critiqué par tous mais jamais modifié, ce verrouillage mis en place par François Hollande est un véritable scandale démocratique auquel il faudra impérativement mettre fin pour la prochaine échéance présidentielle. En attendant, je vous appelle à la mobilisation.