En quelques mots, voici les faits :
Le ministère de l'Education nationale a publié une circulaire intitulée « pour un meilleur accueil des élèves transgenres en milieu scolaire. »
Ce document stipule que les élèves pourront se faire appeler par un prénom différent de celui qu’ils portent à l’état civil, s’ils se sentent appartenir au sexe opposé.
Concrètement un garçon qui s’appelle Matthieu, pourra exiger de ses professeurs qu’ils l’appellent Clémence et une fille qui s’appelle Léa pourra réclamer qu’on l’appelle Thibault.
Ce prénom d’usage sera utilisé sur tous les documents qui relèvent de l'organisation interne de l'établissement : liste d'appel, cartes de cantine, de bibliothèque etc.
La même logique s’appliquera pour les vêtements : les enseignants doivent s’assurer que les tenues vestimentaires, « ne font pas l'objet de consignes différenciées selon le genre.»
Un garçon pourra donc se présenter à l’école en jupe !
L’élève pourra aussi utiliser les toilettes et vestiaires qui sont « conformes à son identité de genre ».
Enfin, en internat, il pourra dormir dans le dortoir correspondant au « genre » qu’il prétend être le sien.
Autrement dit, comme je vous le disais, un élève de sexe masculin, mais qui se prétend de genre « féminin » pourra utiliser les douches des filles et dormir dans le même dortoir qu’elles !
D’après la circulaire, le « parcours de transition », c’est-à-dire le changement de sexe, commence chez certains élèves dès l’école primaire.
En conséquence, c’est dès le CP que les règles fixées par la circulaire devront s’appliquer !
« Le seul indicateur fiable de l'identité de genre d'une personne, quel que soit son âge, est son autodétermination », peut-on lire.
S’il vous plaît, exigez de Jean-Michel Blanquer qu’il retire sa circulaire en signant le carton rouge qui lui est adressé.
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